Respect the rules [PV : Liù]

PV : Liù

Je parle en #7FFFD4 (aquamarine)

Je me réveillais doucement, dans les vappes, comme à mon habitude, sans un sourire, encore en train de rêver. Sans émotions, sans rien, je me dirigeais d'un pas lent et liurd vers la pile de gibier, où je me pris un lapin, et je sortis hors du camp avec ma proie dans la gueule. Je la mangeais à quelques pas du Camp, et toujours en "transe" je me dirigeais lentement mais sûrement vers le Verger.
Les odeurs de proies et de fruits me réveillèrent parfaitement. Si j'avais autant de mal à me réveiller, c'est parce que nous sommes en automne.

L'automne. Je n'aime pas du tout cette saison, ainsi que l'hiver. En effet il faisait froid, et le gibier se cachait. Les autres loups, tels qu'ils soient, devenaient plus féroces, pour cause, le manque de nourriture. Il enviaient ceux dont le gibier était plus abbondant. Peut être suciterons-nous, Meute de la Plaine, cette férocité, vu que, d'après moi, dans nos Territoires, la quantité de gibier est plus importante qu'ailleurs ?
Soudain, ma pire crainte se dévoila au grand jour :

- NOUS ALLONS NOUS FAIRE ENVAHIR PAR LES SOLITAIRES !!!

J'avais hurlé mon désespoir et mon mécontentement, en plein milieu du Verger. Quelques lapins qui passaient par là m'ont entendue, et ont fuit. J'avais l'air tellement bête. De toute façon, il n'y a personne d'autre ici, donc je n'ais rien à craindre, après tout. Si l'on me voyait, j'aurais du soucis à me faire. Peut être m'aurait on considérée comme une folle. Une détraquée. Mais qu'importe. Du moment que je fais respecter les règles aux autres, tout va bien. Je ne peux pas m'empêcher de sermonner tout le monde...

Je me roulais dans l'herbe en ore mouillée de rosée, et je restais sur le dos, à regarder le ciel. Rien ni personne ne pouvait me déranger...

Je ne pense pas avoir le droit d'aller ici. Non, en faite, il n'y a même pas a penser. Je n'ai pas le droit, mais cela n'a aucune importance. Peut être que certain se rendront compte de ma disparition, mais cela m'est égale. Je me noierait sous les coups de crocs et de griffes, seulement parce que je suis sortie du territoire seule pour chasser quelques lapins. Ce n'était pas la première fois que je sortait en douce. Je marchais au milieu du verger, quand enfin je sentit la fraiche odeur d'un lapin. Un lapin qui semblait bien gras pour cette période. L'automne. Il parait que c'est une belle saison. Je ne suis pas d'accord. Tout meurt en automne. Que se soit le gibier, les chasseurs ou même les feuilles. Ces traitresses de feuilles, qui abandonne les arbres, les laissant mourir de froid pendant l'hiver. Elles reviennent au printemps et restent jusqu'en été laissant ces pauvres arbres en surchauffe. Puis quand revient l'automne, elles meurent de nouveau et cela recommence. La longue vie des arbres n'est pas a enviée. Quoique, c'est peut être mieux qu'être croc-pointu... Je me remet a guetter le lapin, ne m'attardant pas sur cette question inutile. Je me prépara a bondir.
-NOUS ALLONS NOUS FAIRE ENVAHIR PAR LES SOLITAIRES! S'écria une voix dans le verger. Je saute, mais le lapin est déjà loin, effrayer par le hurlement de l'inconnue . Enervé et oubliant complètement mon rang, je hurle:
-Mais sa va pas de crié comme ça? Tu as fais fuir ma proie! Accusai-je. Je ne regretta même pas mes paroles. Je devrait pourtant, car je doit le ''respect'' aux loups de grades supérieur même s'ils viennent d'un autre clan. Je scruta le verger pour voir ou était le loup qui avait crié, sans le trouver.

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Une voix rettentit à l'autre bout du Verger. C'était apparemment une louve qui exprimait son mécontentement à vive voix. Elle m'en voulait parce que j'avais fait fuir sa proie, pff, une de plus ou une de moins, en cette saison, ça ne se voit pas ! Je tendis l'oreille. La louve en colère hurlait :

- Mais ça va pas de crier comme ça? Tu as fait fuir ma proie!

Deux trois mots, c'est tout. Elle n'avais pas l'air d'être une grande bavarde, mais une sacré râleuse. J'émis un long baîllement. Je vis enfin celle qui avait crié : une grande louve, brun-noir, banale. Elle ne me voyait pas, et elle n'avait pas l'air toute jeune. Un Croc-Pointu de la Meute de la Rivière, je le reconnut à l'odeur. Que faisait-elle seule, hors du Camp ? Elle enfreignait les règles, et même si elle n'est pas de ma Meute, je ne pus m'empêcher de la remballer :

- Dis donc, Croc-Pointu ! De quel droit t'adresse-tu sur ce ton à moi, Sakura, Lieutenante de la Meute de la Plaine ? Qui plus est tu n'es pas en droit de chasser seule. Retourne vite dans ta Meute avant que je ne prévienne Dokyou, ton Chef, de ta désobéissance...

Tout en disant celà, je m'étais retournée, puis redressée. J'étais, bien que loin de la Louve, menaçante, et je me rapprochais d'elle. Une fois que je fus pret de sa truffe, je lui demandait :

- Puis-je aussi savoir ton nom, pour que je me souvienne de toi, rebelle ?

J'attendais, sans un mot, la réponse de la louve, que je regardais dans le blanc des yeux. Mes paroles étaient justes. Cette louve inconnue n'avait pas le droit de désobéir à son Chef. Et si elle montre la moindre trace de violence, je l'élimine sur-le-champ. Les rebelles, je ne les acceptent pas. Ils doivent avoir une correction.

Je ne sentait même pas l'odeur de l'autre loup a cause du vent. Méfiante, je regardait autour de moi, vérifiant qu'aucune boule de fourrure ne se jetait sur moi. Puis une réponse:
Dis donc, Croc-Pointu ! De quel droit t'adresse-tu sur ce ton à moi, Sakura, Lieutenante de la Meute de la Plaine ? Qui plus est tu n'es pas en droit de chasser seule. Retourne vite dans ta Meute avant que je ne prévienne Dokyou, ton Chef, de ta désobéissance...
J'ai toujours eu beaucoup de chance. Quand je dis cela, je suis évidemment ironique. Sakura, lieutenante de la meute de la plaine... Je ne répondit pas, je la sentait se raproché, quand je la vie enfin. C'était une belle louve grise, mais peu importe qu'elle soit lieutenante ou non, elle ne m'impressionnait pas. Elle s'approcha de moi, un peu trop a mon gout.
-Puis-je aussi savoir ton nom, pour que je me souvienne de toi, rebelle ? Me demande-t-elle. Je la regarde droit dans les yeux. Preuve que je suis insolente et que je me contrefiche des gestes de soumission. Je connais son nom, alors je pense que je dois lui dire le mien.
-Liù. Pardonnez-moi Ô grande lieutenante de la meute de la plaine, mais j'pouvait pas savoir qui vous étiez. Dis-je d'un ton moqueur et méprisant. Cela me vaudra certainement un coup de griffe. Pas grave. Cela me donne l'impression d'être un peu plus libre quand je répond ou que j'enfreins les règles. Tout ça a cause de cette fichue oreille...

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La Louve de la Meute de la Rivière me regardait elle aussi droit dans les yeux, sans ciller. Elle me répondit ensuite, d'un langage charetier et moqueur :

- Liù. Pardonnez-moi Ô grande lieutenante de la meute de la plaine, mais j'pouvais pas savoir qui vous étiez.

Je lui mis un coup de patte sur la joue droite, sans sortir les griffes tout de même, et, très en colère, je répliquai :

- COMMENT OSE-TU, PAUVRE TACHE, ME PARLER SUR CE TON ? TU ES DÉJA TRÈS COURAGEUSE -ou bien naïve- DE T'ADRESSER À MOI DE CETTE MANIÈRE MAIS EN PLUS, TU MONTRES DU DÉDAIN À MON ÉGARD...

Puis j'ajoutais, plus doucement, en m'approchant un peu plus près de son oreille :

- As-tu au moins consience de ton Rang, vieille carne ? Cela ne dérangera pas les autres de ta Meute si je te donnais une correction un peu plus sévère que mon coup de patte de tout à l'heure, vu que tu es... Croc-Pointu.

Je m'éloignais un peu, fière de ma remarque. La réponse de Liù m'avait piquée à vif, et j'avais une envie irrésistible de me déchaîner sur elle. Je n'aime pas ceux qui n'en font qu'à leur tête et se fichent des règles, et j'appréciais encore moins les Croc-Pointus, à part peut être ceux de ma Meute.
Je me rappellais que la Meute de la Rivière possédait beaucoup de Croc-Pointus, beaucoup plus que de Guerriers, Rabatteurs, Chasseurs et autres... J'avais l'impression que cette Meute était inférieure a cause de tous ces fardeaux que sont ces vieux loups.
Je me demandais ce qu'allait répliquer la vieille Louve...
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(Mon perso est encore jeune ^^)

La lieutenante me donna un coup de patte dans la joue. Je ne silla pas, j'en avait vu des pires... Et visiblement très énervée par ma réponse, elle s'écria:
- COMMENT OSE-TU, PAUVRE TACHE, ME PARLER SUR CE TON ? TU ES DÉJA TRÈS COURAGEUSE -ou bien naïve- DE T'ADRESSER À MOI DE CETTE MANIÈRE MAIS EN PLUS, TU MONTRES DU DÉDAIN À MON ÉGARD...
Je soupira. Tout ça parce que je n'avait pas parler sur le ton qui convenait a cette louve de rang supérieur? Ma raison rajouta que ce n'était pas n'importe quel rang, lieutenante. Menaçante, elle s'approcha de mon oreille, et pas n'importe laquelle, celle qui était plus petite et un peu tordue.
- As-tu au moins consience de ton Rang, vieille carne ? Cela ne dérangera pas les autres de ta Meute si je te donnais une correction un peu plus sévère que mon coup de patte de tout à l'heure, vu que tu es... Croc-Pointu. Rajouta-t-elle sans crier cette fois, mais d'un ton faussement doux. Elle s'éloigna un peu et releva la tête, l'aire fière et les yeux brûlant. Ce regard, je le connaissais bien, moi même l'avait souvent. Elle avait le même regard que j'affichais quand j'avait envie d'arracher la fourrure a un loup. Cette fois, j'hésita. Et si pour une fois dans ma vie j'acceptait mon rang et ne disait rien? Mais cette pensée fut de courte durée. Je ne veux pas me soumettre a leur lois. Quel qu'en soit le prix a payer. Mais je tenta tout de même de resté prudente, bien que je ne détachait toujours pas mon regard du siens.
-J'ai très bien conscience de mon rang. C'est justement pour cette raison que j'ose vous parlez comme je l'ai fait, et vos menaces ne me font pas peur. Répondit-je d'un ton étonnement calme. Je laissa échappé un sourire en pensant a cette phrase:
-Après tout je suis un croc-pointu, c'est mon rôle de me faire maltraité. Rajoutai-je, ironique. C'était sûrement la phrase en trop, celle que je n'aurait pas du dire. Ce ne serait plus de l'arrogance, mais du suicide si je continuais. J'attendis donc avec prudence la réponse, et surtout la réaction, de Sakura.

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La Louve hésita un moment, elle avait l'air de penser à quelque chose. Avait-elle enfin pris conscience de ses actes, et que elle, en tant que Croc-Pointu, ne devait que suivre, et obéir aux règles ? Je me trompais sur toute la ligne. En effet, elle déclara d'un ton calme, en souriant :

- J'ai très bien conscience de mon rang. C'est justement pour cette raison que j'ose vous parlez comme je l'ais fait, et vos menaces ne me font pas peur.

Puis elle ajouta, ironiquement :

- Après tout je suis un croc-pointu, c'est mon rôle de me faire maltraiter.

Et elle est arrogante, en plus ?! Je n'arrive pas à la cerner. Veut-elle mourir ici et maintenant pour me parler ainsi ? Peut être a-t-elle des tendances... Bizarres... Ou quelque chose d'autre. Cette façon de répondre, cette lumière dans ces yeux, pleins de détermination, que je voyais quand elle me regardait... A-t-elle envie de mourir ? Est-ce que cela lui plait ? À mon tour, je déclarais :

- Dis-moi... Liù. Te rends-tu compte de ce que tu viens de dire ? Même si c'était de l'ironie ? Es-tu masochiste, tu aimes tant souffrir ? Tu veux peut être mourir ? Dans ce cas là, va dans les sous-bois, et tu trouvera une grande louve blanche qui te tuera sur le coup, et là tu seras satisfaite. VAS DONC RENDRE VISITE À ECHO SI TU VEUX EN FINIR !!

J'avais haussé le ton à la fin de ma phrase. Au moment où j'eus prononcé le nom de la sanguinaire, qui se répercuta dans toute la forêt, un hurlement terrifiant mais lointain se fit entendre. J'en frémis de peur.
J'espère tout de même que cette maudite Croc-Pointue allait me comprendre. C'est vrai, quoi. Elle ne devrait pas avoir un comportement pareil. Déja que leurs conditions de vie sont assez médiocres, alors, si elle provoque les autres loups, son cas s'aggravera. Si j'étais à sa place, je me ferais la plus petite possible, pour passer inaperçue, et avoir une petite vie assez correcte. Mais cette rebelle n'en avait pas envie. Elle a l'air d'être avide de liberté. Si c'est le cas, pourquoi ne devient-elle pas Solitaire ? Elle pourrait vivre une vie tranquille, provoquer qui elle veut, sans se soucier de son Rang et de ses Complexes !
J'attendis la réaction de Liù, et en même temps je regardais de tous les côtés si je n'avais pas alerté Echo. Apparemment, aucun signe de la sanguinaire. J'étais hors de danger. Je ne pense qu'à ma pomme, sur ce coup là ? C'est parce que pense que ce que je viens de raconter n'a fait ni chaud ni froid à la rebelle de la Leute de la Rivière...

Elle ne semblait pas me comprendre. Sakura semblait consterné de voir que je lui tenait tête. Il faut dire que ce ne devait pas être tout les jours qu'un croc-pointu lui parlait ainsi. Après un court moment de réflexion elle répondit:
- Dis-moi... Liù. Te rends-tu compte de ce que tu viens de dire ? Même si c'était de l'ironie ? Es-tu masochiste, tu aimes tant souffrir ? Tu veux peut être mourir ? Dans ce cas là, va dans les sous-bois, et tu trouvera une grande louve blanche qui te tuera sur le coup, et là tu seras satisfaite. VAS DONC RENDRE VISITE À ECHO SI TU VEUX EN FINIR !! Elle cria sa dernière phrase. Je fut étonner de sa réaction. Elle n'avait pas compris. Les loups supérieurs ne comprenait rien. Après tout, pourquoi se donneraient-ils la peine de comprendre? Je n'avait pas envie de mourir, mais au contraire de vivre! C'est pour cela que je lui répondait ainsi. Pour me sentir plus vivante. J'avait déjà entendu parler de cette louve, Echo. Il parait que c'est une louve sanguinaire, qui tue tout ce qu'elle voit. Un hurlement se fit entendre dans le lointain, ce qui semblait éveillé la peur chez Sakura. Anxieuse, elle regardait a droite, a gauche, tout en attendant ma réponse. Je ne sais pas pourquoi elle a peur rien qu'en parlant d'elle. Elle est a des kilomètres d'ici, dans les confins, il y a peu de chance que l'on voit le bout de sa truffe dans les parages. Sans trop savoir pourquoi, je m'assit sur le sol. Puis d'une voix calme et un peu moins arrogante que tout a l'heure, je déclara simplement:
-Pourquoi mourir si on peut vivre? Je n'irait pas a la mort de moi même, se serait ma fierté qui en serait réduite a néant. Je leva la tête. Le ciel était clair et sans nuage, bien que la température soit fraiche. Rebaissant la tête, je regardait si Sakura me répondait.

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Liù leva la tête pour regarder le ciel sans nuage. Son calme me frustrait. Elle me répondit enfin.

-Pourquoi mourir si on peut vivre? Je n'irais pas à la mort de moi même, se serait ma fierté qui en serait réduite a néant.

Sa réponse me choqua. Elle restait sur ses idées de départ, elle ne changeait pas, elle ne voulait pas prendre conscience qua son Rang était deshonorant, elle voulait tout simplement être libre. Et elle le désirait plus que tout. Il était inutile, même pour moi, de la raisonner. Même les loups de haut Rang ou de mauvais réputation ne l'effrayaient guère. Quitte à se faire battre, quitte à en mourir, cette louve téméraire voulait obtenir sa liberté, et faire tout comme elle l'entendait.
J'émis un "Hum." d'approbation accompagné d'un imperceptible sourire avant de tourner les talons et de déclarer.

- Soit. Fais comme tu le sens. Après tout, il n'en tient qu'à toi. Mais ne viens pas pleurer si un jour tu te fais punir sévèrement par tes supérieurs auxquels tu auras manqué de respect. Vis ta vie, mais ne m'adresse plus la parole si tu recroise mon chemin. Mes idées vont à l'encontre des tiennes, le dialogue est donc impossible entre nous. Adieu.

Et sur ces mots, je m'enfoncais dans la forêt, sans pour autant trop m'éloigner pour voir si Liù avait autre chose à lire.

(Bon tu réponds et c'est fini ? Paske là j'ai pas mal de RPs en route et j'essaye de les boucler.)

Sakura sembla étonner par ma réponse. En même temps, c'est normal... Elle tourna les talons et déclara:
- Soit. Fais comme tu le sens. Après tout, il n'en tient qu'à toi. Mais ne viens pas pleurer si un jour tu te fais punir sévèrement par tes supérieurs auxquels tu auras manqué de respect. Vis ta vie, mais ne m'adresse plus la parole si tu recroise mon chemin. Mes idées vont à l'encontre des tiennes, le dialogue est donc impossible entre nous. Adieu. Sur ces mots elle disparut dans la forêt. Je ne rajouta rien, car il n'y en avait nul besoin. Je resta un moment assise, les yeux rivé vers l'endroit où était partit la lieutenante. Je finit par me relever, j'hésita a chercher ce fichu lapin qui m'avait échapper, mais j'y renonça. Je me contenterait des restes que laisseront les membres de la meute... Je me dirigea vers le camp, me demandant pourquoi y retourner. Encore cette question que je me posait a chaque fois. Mais mes pattes me portaient toujours machinalement vers ce lieu ennuyeux et inutile a mes yeux. Je pourrait ne pas y aller, et vivre en solitaire. Mais ce serait lâche de partir sans prévenir. C'est donc avec lassitude que je m'affala sur la paillasse réservée aux crocs-pointus. Après tout si j'étaie solitaire, il n'y aurait plus de règles a enfreindre... Et c'est vrai, cela m'amusait de ne pas les respecter.

Bon ! C'etait un beau RP, même s'il était court... Je lock ! ^^