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Je suis toujours à la recherche de mes frères. Ils mon faits souffrir, ils mon détestés, ils mon ignorés...Alors je me suis promise de me venger, de les faires souffrir à leurs tour. Ils ne le savent pas, mais un jour, je l'ai retrouverais. Et je ne veut surtout pas que quelqu'un les tuent. C'est moi qui mettra fin à leurs jours. Ma décision est prise...
Aujourd'hui, j'état sur la falaise. Je regardais la mer qui se balançait. Mais je devais repartir. Tandis que je marchais sur le bord d'un coup je tomba de la falaise, quelqu'un m'avais poussé.
"-A l'aide ! Au secours !
Heureusement, j'était restée sur une corniche mais je ne souffrais pas, je ne devais rien avoir.
-C'est toi l'esprit !?
Je pensais que c'était un esprit qui me pourchassait. Alors je remonta puis je lui supplia d'arrêter. Soudain, une voix retentit, un voix si douce ! Elle hurlai, puis me parla. Là je reconnut qui était l'esprit...
-Maman ?
Tout s'arrêta d'un coup. Je ma retourna et là, je vis, une louve blanche. Elle était si blanche que l'on aurait pu croire que c'était du surnaturelle. Et oui, en effet, c'était paranormal ! C'était ma mère...
-Ma...maman...
-Je ne te veux aucun mal... chuchota Albïa.
-Maman... Je n'en revenais toujours pas, je pouvais la voir !
-Oui c'est moi Albïa, ta mère en personne !
-Mais...je peux te voir ?!
-C'est une longue histoire ! Je peux t'expliquer !
-oui, c'est une bonne idée, je ne comprend rien !
Nous nous asseyons près du "grand vide", le soleil se couchait. Je suis sur que si quelqu'un me voyait, il me verrait parlée a personne ! Puis nous avons commencer a discuter.
-Pourquoi moi ?
-Tu ais ma fille !
-Oui merci de l'info' ! Je sais !
Albïa commença a montrer les crocs.
-Pardon. dit Alesia, d'un aire désolent.
-Regarde, là... Albïa montra sa cuisse et la mienne.
-Nous avons le même signe !
-Oui, ce croissant de lune est un signe...C'est grâce a lui que l'on peut voir les esprits. Tes frères ne l'on pas. Mais ton père, si. Il l'avait... alors ne fait pas mal a tes frères. Ne les touches pas ! Ils n'ont pas ce dont ! Ils sont normaux !
-Mais tu ne sais pas ce qu'il m'ont fait endurer !
-Si je le sait...
-Et tu n'as rien dit ? Je commençait a m'énerver un peu de trop.
-Non, non je ne leur ai rien dit !
-Ca ne se fait pas ce que tu as fait !"
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Je partis, de nouveau seul, je marchais... Au bout d'un certain temps, je regardas ce signe. Il m'évoquai quelque chose, je ne sais pas quoi, mais quelque chose. Je ferma les yeux puis je vit le chemin... Le chemin de ma vie. Je pouvait voir l'avenir. D'un coup, dans mes pensées un chose blanche arriva sur moi et ce mit a me persée les tympans. Mais j'était censé voir dans le futur et là, j'eu vraiment mal; si mal que je crut que je ne pourrait plus entendre. Tout s'arrêta, tout...et quelques secondes plus tard j'ouvris les yeux. Une petite musique mélodieuse retentit dans ma tête et tout s'arrêta encore une fois. La musique recommença mais en une musique horrible. Un chant d'esprits errants la Terre en cherchant la vengeance.
Le musique baissa d'un ton et ce calma. Je me releva enfin avec un mal de tête. Tout était calme il n'y avait aucun bruit. Rien avait changé, Mais les oiseaux chantais et je n'entendais rien. J'aboya et hélas je n'entendit rien non plus. Quand je me retourna pour reprendre mon chemin Albïa réapparut.
"-Maman ? Dis-je d'une petite voix.
Elle ouvrais la gueule et parlais mais je n'entendais rien. La peur m'envahissait peu à peu... Ma ère s'approcha de moi puis s'assis. Elle me regardait d'un aire maléfique.
-Maman !?
-...
Le silence envahissait mes pensés.
-Le silence... chuchotais-je. Je déteste le silence !
Albïa ferma les yeux et souris encore plus... D'un coup elle ce jeta sur moi et me poussa contre un arbre. Ma tête ce cogna contre le Pin. Tout les oiseau et la nature se remirent a chanter. Je les entendais de nouveaux, ils étaient revenus. Maman avait disparu, cette fois je devais reprendre la route relativement calme sinon je m’énerverai et je risquerai de me faire mal.
Au bout de quelques heures je trottinais calme et sereine, j’arrivais dans les confins, cette forêt prisonnière de l’ombre, il y faisait tellement noir que par endroits il n’y vivait que des animaux nocturnes. D’ailleurs la nuit commençait à tomber, je devais vite trouver un endroit où dormir. Heureusement il y avait un petit tapis de mousse à côté du rocher au Aigrettes. Pendant la saison aux grandes voles, la saison de migration, les aigrettes venaient se poser sur ce rocher, elles étaient des proies faciles à attraper et à décortiquer. J’avais encore assez dans mon estomac pour tenir jusque au lendemain. Je me couchais sur le tapis de verdure puis ferma les yeux pour changer de journée, pour continuer les aventures de la vie…
Je fis le rêve le plus obscure que j’avais de ma vie. Albïa était là, constamment en train de me regarder, chaque gestes, chaque pas que je faisais étaient contrôlés par ma mère. Soudain elle surgit des buissons et me cassa la patte tandis qu’elle me planta ses crocs dans ma cuisse.
« -Tu n’es plus ma fille ! Cria-t-elle.
Je la regardai d’un air triste. Une larme coulait de mon œil vert puis je partis en courant seulement trois pattes. Je fis quelques mètres mais pour mon cœur s’en était trop, il voulait tout arrêter. Recommencer une vie… Il s’arrêta…
Mes yeux commençait à s’ouvrirent. Et d’un coup je me levai.
-Je…je ne suis pas morte…
Après mon temps de réflexion je remarquai que ce n’était qu’un cauchemar, rien de plus, ou presque car j’avais réellement une larme qui coulait sur mon museau. Le soleil était en train de se lever. Une voix revint retentir dans mes oreilles.
- Ne croit pas ça…
Je ne comprenais pas et là j’eu peur, je crus que la voix pensais que mon cauchemar ce réaliserais. Qu’il arrêterait ma vie, mais non elle et moi, nous ne pensions pas la même chose.
-Tu ne vois pas l’avenir. »
Je poussai un petit soupir de soulagement.